Plusieurs parmi vous sont au courant des efforts déployés par l’équipe de Chalk Immigration pour appuyer les demandeurs au Programme de l’expérience québécoise depuis maintenant plus qu’une année. Nous sommes d’avis que le MIDI ne respecte pas les véritables exigences de la loi au chapitre de la preuve de la connaissance du français. Nous croyons que le Règlement édicte clairement le dépôt par le candidat d’un document attestant d’une connaissance du niveau intermédiaire-avancé désigné par le MIDI qui a été obtenu par des moyens licites et légitimes. Hors, le MIDI demande aux candidats de subir des entrevues avec un évaluateur et le résultat obtenu en entrevue prime sur tout le reste. Nous croyons que le recours à de telles entrevues d’évaluation n’est pas permis par les lois du Québec.
Plusieurs candidats – au fait une majorité importante – échouent à l’entrevue. Les entrevues sont de courte durée – en moyen entre 30 et 45 minutes. Les cours suivi par les candidats ont tous été évalués par des instructeurs attitrés auprès du Ministère de l’éducation – dont plusieurs ayant des qualifications égales ou supérieures à celles des évaluateurs engagés par le MIDI. Ainsi, nous devrons nous interroger sur la fiabilité des résultats obtenus par les évaluateurs en entrevue dont le résultat est sans appel véritable.
Afin de vous permettre de jauger des argument soumis par les deux parties au litige, voiçi les mémoires de IMK imk-midi-factum-final-caviard et du Procureur général du Québec imk-mmoire-de-la-dfenderesse-caviard.